Où sommes nous ? [LIBRE]

[HRP= rouge foncé est la couleur de Tsubasa-Keanu et le bleu foncé est la couleur de Keandra-Yuna et lorsqu’ils parlent ensemble c’est en violet.]

Je me souviens d’une terrible douleur. Une douleur tel que j’aurais voulu mourir plutôt que de subir cela. Puis plus rien. Rien que les ténèbres. Je me suis sentit soulever mais rien d’autre.
A présent je me bat pour me réveiller et pour reprendre le contrôle de mon corps endoloris.
Une seule chose m’importe. Savoir où est ma sœur.
Cette pensée m’aide. Je suis entrain de me réveiller, je le sens. Je sens mon corps bouger.
J’ouvre difficilement un œil. Où suis-je ? Je ne suis pas chez moi ….
L’obscurité est tout autour de moi. Serais je encore endormis ? Non, je vois le carrelage froid sur lequel je suis allongé. J’ouvre mon deuxième œil. Tout mon corps me fait mal. J’ai un mal de crâne à réveiller les morts. J’arrive à me redresser et je regarde autour de moi.
Je vois ma sœur allongée un peu plus loin, elle est toujours évanouie. Je rampe aussi vite que je peux vers elle et je prend son pouls. Je soupire de soulagement. Son cœur bat toujours. Mon Dieu Merci !
Je m’assoit et je là prend entre mes bras et je la supplie de se réveiller.

S’il te plaît petite sœur, réveille toi ! Je t ‘en pris ouvre les yeux. Aller fais le !

Je suis très inquiet, elle ne se réveille pas. Je ne me contrôle plus et je hurle :

KEANDRA !!!!!!!!!!!!!!!!

Je ne me contrôle toujours pas et je hurle son deuxième prénom :

YUNA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je baisse la tête et je reprend son pouls. Il bat toujours alors pourquoi ne se réveille - elle pas ? Pourquoi ?
Je pose ma tête au creux de son cou. Je l’entend respirer. Je commence à avoir moins mal de partout pourtant, je sais que ma sœur à mal.
Soudain, je m’aperçoit que je n’arrive pas à sentir les odeurs autour de moi. Pourquoi ? Est ce à cause du produit que ces hommes en noir nous ont injecté ? Peut être.
Papa et Maman doivent être mort d’inquiétude. J’espère qu’ils nous laisserons sortir très rapidement de cet endroit lugubre.
Keandra-Yuna commence à bouger. Je sourit tendrement. Elle ouvre les yeux difficilement, tout comme moi tout à l’heure.
Elle pleure. Je là console comme je peux.

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Je me souviens seulement de quelques passages. Bon sang que j’ai mal ! C’est horrible ! J’aimerais mieux mourir que vivre avec cette douleur. J’ai envie de hurler mais je n’y arrive pas.
La seule chose qui m’importe vraiment c’est de savoir où est mon frère.
Je me souviens que des hommes tout de noir vêtus sont venus à la maison et après quelques minutes de combat, je me suis fait attraper, mon frère en voyant cela c’est jeter sur l’homme qui me tenait mais un autre homme, qui ressemblait à une armoire à glace à fait son apparition et à tenu mon frère par le col de sa chemise comme s’il avait été une poupée de chiffon. J’ai vu un homme s’approcher lui et lui injecter quelque chose. Aussitôt je ressentit une douleur dans tout le corps et mon frère hurla de douleur avant de s’évanouir. Je hurlais et je les insultaient même. L’homme à sortit une autre seringue et m’as piqué une douleur encore plus terrible que celle que j’ai reçu lorsque mon frère avait eu mal me pris et je hurlais encore plus fort que lui avant de tomber dans l’inconscience.
J’aimerais me réveiller mais je n’y arrive pas.
Je me sens soulever, certainement mon frère. Oui, je reconnaît sa voix. Elle m’appelle, elle m’attire vers elle et elle essaie de me faire sortir des ténèbres où je suis.
Voyant que je ne me réveille pas il hurle, il à certainement très peur pour moi. Je le comprend, j’ai peur moi aussi. Je ne sais pas où nous sommes mais il à dû alerter tout le monde par ces cris.
J’arrive à ouvrir difficilement les yeux. Il me regarde et me sourit. Je pleure, il me console.
Après cette crise je regarde autour de moi. Brrrrr quel endroit lugubre. Il n’y a que l’obscurité.
J’ai mal de partout sauf à une jambe, ma jambe droite, je ne là sens plus, bizarre. Je touche ma jambe mais je n’arrive pas à sentir le tissu de mon vêtement. Que m’arrive il ?
Je regarde mes mains et ma jambe. Puis je regarde mon frère et je lui dit avant toute chose :

Grand frère ! Est ce que tu vas bien ? Où sommes nous ? Pourquoi sommes nous là ?

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Les jumeaux Yukimura se sont réveillé dans une pièce adjacente au Hall d’entrée. Ils découvrent une pièce sombre. Ils sont au sol. Ils ont froid et découvre que le sérum que les hommes en noir leur ont donnés n’est autre qu’un sérum qui enlève quelque chose.
Tsubasa-Keanu, l’aîné des deux répond à sa sœur Keandra-Yuna :

J’ignore tout de cet endroit ma sœur. Je vais bien et toi ? Mais je ne sais pas pourquoi, je n’arrive plus à sentir autour de moi. Je pense que c’est à cause de ce qu’ils nous ont injectés avant de nous évanouir.

Il à bien deviner même s’il l’ignore. Elle le regarde et lui dit :

Moi je vais bien aussi mais comme toi je n’arrive pas à sentir ma jambe droite et je n’arrive pas à sentir les chose qui sont autour de moi, je crois que j’ai perdu le sens du toucher. C’est vraiment horrible. Qu’allons nous faire ? Papa et Maman doivent terriblement s’inquiéter !

Oh ma petite sœur, je suis désolé. Je ne sais pas. Il faut déjà trouver la sortit de cette pièce et ensuite nous verrons pour sortir de ce lieu. C’est ce que j’ai pensée aussi. J’espère qu’ils vont bien, heureusement qu’ils n’étaient pas là !

Keandra-Yuna approuve de la tête. Ils regardent autour d’eux et voit des valises qu’ils reconnaissent comme les leur. Il va les prendre et les ramener vers eux. Et il prend dans sa valise deux blouson de cuir, un pour sa sœur et un pour lui. Car, après tout, il n’était habillé que d’une chemise noir et d’un pantalon noir et elle d’une petite robe blanche et noir.
Soudain, ils entendent des pas dans le couloir et Tsubasa-Keanu se place devant se sœur, de sorte qu’elle est invisible pour toute personne qui rentrera dans la pièce. La porte s’ouvre ….

Les jumeaux Yukimura attendaient, la peur au ventre la personne qui allait rentrée dans cette salle sombre. Qui allait-elle être ? Comment serait il/elle ? Il n'en savait rien mais ce qu'il savait c'est que l'attente était interminable.

La porte s'ouvre et le grincement qu'elle produit fait grimacer les deux nouveaux habitants et Tsubasa-Keanu à bouger, sa soeur était donc exposer aux regards mais il pouvait bouger en un instant grâce à ses réflèxes même s'il n'était pas sur de pouvoir le faire dans l'état actuel où il se trouvait.
Keandra-Yuna, elle se lève et accroche le blouson de cuir de son frère. Elle tremble un petit peu et Tsu-Tsu le sait. Il lui lance un regard rassurant et elle lui sourit.

La porte s'ouvre toute grande et avec le peu de lumière qui vient avec cette porte, ils pouvaient voir une jeune fille aux yeux bleu envoûtant, presque autant que leur yeux, qui étaient à la fois envoûtant et qui faisait peur. Sa chevelure était flamboyante, c'était le moins qu'ils puissent dire. Mais cela lui allait très bien.
Elle murmure un prénom et ils allaient répondre lorsqu'elle reprit la parole pour se dire qu'elle était folle que cela ne pouvait pas être cette personne.
Keandra-Yuna, surmontant sa peur, lui dit :

Bonjour. Est ce que vous savez où nous sommes ?

Elle vacilla un instant mais son frère la retient et là mit à son côté en là tenant par la taille. Il regardait à la fois sa soeur puis la jeune fille. Keandra-Yuna regarda son frère, un regard qui voulait dire merci. Ils n'avaient pas besoins de parler pour se comprendre, ils étaient si proche après tout !

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Une jeune fille apparaît, ses cheveux sont flamboyant et ses yeux sont d'un bleue impénétrable et envoûtant. Elle ne doit pas encore voir nos yeux, je pense, sinon, elle aurait déjà reculer en les voyant. Nous faisons peur avec nos yeux. Et maintenant cela doit être pire vu dans l'état dans lequel nous sommes. Frigorifiés, la douleur insupportable qui baisse un petit peu.
Ma soeur lui demande, presque en murmurant où nous sommes mais j'ai l'impression qu'elle est nouvelle comme nous car la grimace qu'elle à fait lorsqu'elle à ouvert la porte est la même que lorsque ma soeur c'est réveillée. D'ailleurs, elle tombe presque, je là tiens fermement afin qu'elle ne tombe pas.
Je ne sais pas si nous devons avancés ou non. Et si elle s'enfuyait ? Nous serions bien mal ! Car après tout, nous sommes perdu dans ce ... ce .. quoi ? Ce qui est sur c'est que ce n'est pas une maison mais plutôt un château ou un manoir, ce qui est sur c'est qu'il aussi sombre que si nous étions dans la nuit. Bref ... que dois-je faire ?

Heu ... qui êtes vous ?

J'avais murmuré également. Mais je ne sais pas pourquoi avant que j'ai pu ravaler ses mots, ils sont sortit de ma bouche alors que ce n'était pas cela que je voulais dire ... Quel idiot !
Ma soeur me regarde un peu étonnée mais elle doit comprendre que ce n'est pas ce que je voulais dire ... enfin ... j'espère ... mais je ne pense pas que cela soit pareil pour la jeune fille qui à ouvert cette porte !

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Je regarde mon frère étonnée ... Mais pourquoi lui à il demander cela ? Il y avait tellement d'autres choses à dire ... Nos regard se croise et je comprends que ce n'est pas cela qu'il voulait dire. Je comprend aussi qu'il est bien plus déstabilisé qu'il a voulut me faire croire tout à l'heure et cela accroit mon sentiment de peur ... Pourquoi nous ? Qu'avons nous fait ? Si c'est à cause du fait que j'ai renverser du café exprès sur cette greuluche de Jane, je m'en excuse ! sinon, je ne voit pas du tout pourquoi on nous en voudrait ! Enfin, il est vrai que nous n'avons pas été souvent de bon enfants très sage mais tout de même ! Nous en vouloir à se point ! Non !
Bref, j'arrête et je regarde la jeune fille.
Je crois qu'elle nous dévisage ...

Lorsque Helenna avait ouvert la porte, l’action n’avait duré que quelques secondes. Pourtant, pour la jeune fille cela avait duré assez longtemps, surtout qu’elle avait retenu son souffle. On ne sait jamais, si retenir son souffle pouvait apaiser cette douleur. Douleur infernale qui ne régnait que dans sa tête. Bref, quoiqu’il en soit, cela n’avait rien changé du tout. Helen’ avait toujours aussi mal au crâne. Elle s’était s’en doute ridiculisée aussi en nommant son frère puis en s’insultant de folle toute seule. Mais après tout, Matthieu lui manquait terriblement … C’est de lui qu’elle avait besoin en cet instant, lui seul, celui qui ne l’avait jamais laissé tomber. Le seul qui comptait plus que tout aux yeux de la jeune fille. Après tout, il était l’unique personne à s’occuper et faire attention d’Helenna. Mais il avait fallu que leur mère Elizabeth envoie le jeune homme dans une université dont personne ne savait vraiment où elle se trouvait, en tout cas à des centaines de kilomètres de Londres. Soit vraiment trop loin au goût de la jeune fille.

Mais passons toute lamentation et tristesse, et revenons-en à la situation actuelle qui se voulait être délicate. Faut pas dire, mais être coincé dans un bâtiment dont on ne connaît ni l’origine, ni le lieu, ni comment on y est entré est assez stressant. Et diable, cette douleur à la tête que ne veut pas se déloger. Si Helenna n’était pas encore folle, elle allait bientôt le devenir. Essayant d’afficher une expression sereine, il ne fallait tout de même pas faire mauvaise impression et paraître bizarre des le début devant deux personnes inconnues, Helenna s’avança de quelque pas pour voir à qui elle avait faire. Quelle ne fut pas sa surprise ! Notre demoiselle aurait pu en rester bouche bée devant ce qui s’affichait devant elle, bien sur elle ne le montra pas. Elle paraissait indifférente, cela rassurerait peut-être les deux inconnus. Néanmoins, elle fit un pas un pas en arrière. Non pas de surprise ou d’effraiement, mais plutôt de douleur car sa migraine s’imposait bien.

Trêve de bavardages, parlons plutôt de ce qui avait tant surprit notre fragile demoiselle. Les deux personnes devant elle était une jeune fille et un jeune homme, ils semblaient être jumeaux tant ils avaient de points communs. Jusque là, tout allait bien. C’était après que cela devenait hallucinant. Les deux jeunes gens, qui semblaient avoir le même âge qu’elle, avaient une apparence légèrement différente. Ils avaient tous deux les yeux de différentes couleurs, un bleu-vert et un rouge. Mais en plus de cela, le jeune homme avait une sorte de bras mécanique. Helenna aurait pu croire rêver, penser qu’elle était bien et bel folle, mais à présent et vu la situation, pas grand chose pouvait l’étonner. La jeune fille s’adressa à Helen’, lui demandant si elle savait quel était cet endroit. Elle vacilla ensuite mais son frère la retint. Par un simple regard elle le remercia, notre demoiselle l’avait bien devinait. Ces deux-là étaient très liés comme elle était avec son propre frère. Malheureusement, elle n’avait pas de réponse à la question.

__« Bonjour, ou bonsoir, je suis un peu perdue à vrai dire » commença-t-elle en roulant des yeux, puis continua avec sa voix calme et douce. « Je suis désolée, je ne sais pas où nous sommes. En réalité, je n’en ai pas la moindre idée et je me pose bien la question. Je pensais vous le demander mais apparemment, nous sommes tous trois dans le même cas.»

Helenna posa le bleu de ses yeux sur ces nouvelles rencontres, ils étaient comme elle dans un état qui n’était pas le meilleur de leur forme. Malheureusement, la demoiselle fut vite tirée de sa contemplation. La douleur de sa tête prenait un peu plus d’ampleur et s’étendait cette fois plus loin. Elle se concentra néanmoins lorsque le jeune homme lui demanda comment elle s’appelait. Helen’ l’observa et comprit que ces paroles lui avaient échappé, que ce n’était pas exactement ce qu’il voulait dire. Ce n’était qu’une simple question parmi toutes celles qui trônaient dans sa tête. Notre demoiselle était dans le même cas ; elle répondit cependant.

__« Je me nomme Helenna. Helenna Douce Wickford pour être plus précis, mais je pense que connaître mon nom en entier n’est guère utile. Et vous, quels sont vos noms ? »

Alors qu’elle achevait sa phrase, un tremblement la saisi et elle dut s’appuyer contre le meuble le plus près pour se reprendre et se calmer. La douleur qui régnait auparavant dans sa tête semblait avoir disparue … Pour finalement s’installer dans le bras gauche de la jeune fille, bras qui précisément était caché dans le long gant noir de la jeune fille, et gant qui cachait une cicatrice ineffaçable. Helenna respira calmement, tenant fermement son bras endolori par son bras droit puis son regard se perdit dans le vague. Tant de questions se bousculaient dans sa tête, il s’agissait sûrement des mêmes que les deux jeunes gens en face.

__« Cet endroit ressemble à un château, voir un manoir. Il est tellement sombre, grand et froid qu’il en est effrayant. » commença la demoiselle aux yeux azur avant de regarder les deux jumeaux et de continuer. « Je ne sais pas s’il en est de même pour vous, mais pour m’emmener ici, on m’a kidnappé. Ensuite, j’ai comme un trou noir, je n’ai aucun souvenir. Et voilà que je me réveille dans ce lieux lugubre … »

Helenna, malgré son langage assez soutenu qui lui venait de sa famille, n’avait parlé que de sa voix habituelle douce et calme.

Nos deux jumeaux regardèrent la jeune fille qui semblait combattre sa douleur pour afficher une mine sereine, sans problème ni douleur apparente. Lorsqu'elle recula, ils avaient cru que c'étaient à cause de leur yeux, et ils soupirèrent de concert. Mais ce n'était déjà pas si mal, elle ne s'était pas enfuie en courant. Mais finalement nos deux jumeaux voyaient que la jeune fille regardaient à la fois leur yeux mais également le bras mécanique de Tsubasa, enfin, ce qui en apparaissait. Il lui sourit d'un air rassurant et posa sa main droite sur le blouson de cuir qui enserrait son bras mécanique. Elle avait dû comprendre qu'ils étaient jumeaux. Ce qui étaient logique même s'il n'étaient ni de la même taille, et n'avaient pas les même muscles cela se voyait.

Lorsqu'elle leur dit qu'elle ne savait pas où ils se trouvaient, les jumeaux se regardèrent et haussèrent les épaules puis Tsubasa dit :

Eh bien nous sommes mal partis ... Comment va on faire ?

Sa soeur leva les yeux au ciel et dit :

Ne nous déprime pas frangin !

Puis elle lui sourit et il lui tira la langue gentiment. Ils voulaient faire baisser le sentiments de peur et l'obsurité qui régnait par un peu d'humour ... à la façon des Yukimura bien entendu ... ce qui n'était pas tout le temps très drôle ou d'une grande intelligence il faut bien l'avouer mais ils se fichaient bien de ce que pouvaient pensées les autres tant qu'ils étaient ensemble. Ils étaient habituer à être ignorer par tout le monde sauf de leur parents.
Puis elle répondit à la question de Tsubasa et leur demanda de se présenter. Les jumeaux dirent dans un parfait ensemble :

Nous nous nommons Tsubasa-Keanu Yukimura et Keandra-Yuna Yukimura. Nous sommes jumeaux.

Ils se sourièrent mais la jeune fille trembla soudainement et ils firen quelques pas vers elle, Tsubasa tenant toujours la taille de sa soeur. Et ils dirent de nouveau dans un parfait ensemble :

Est ce que tu vas bien ?

Lorsqu'elle commença à parler du manoir, les deux compères frissonnèrent pour l'un discrètement et pour l'autre très visiblement. Elle leur dit qu'elle avait été kidnappé et Tsubasa lui répondit, voyant que sa soeur, avait du mal à la faire :

Oui, nous aussi. Nous étions chez nous et des hommes en noir sont venus et nous ont capturé avant de nous faire une piqûre qui nous à fait nous évanouir. Ensuite comme tu là dit nous ne nous souvenons de rien d'autre.

Les jumeaux, eux, n'avaient pas de langage soutenue ou de langage familier, ils parlaient comme ils le voulaient ils pouvaient être aussi bien familier que très polie. Parfois aussi ils se moquaient des bourgeois mais cela c'était parce que la plupart d'entre eux étaient bien trop prétentieux à leur goût et ils s'amusaient donc à les imiter et parfois à les humilier mais cela n'allait jamais plus loin qu'une claque ou que renverser du café ou autre sur quelqu'un de trop prétentieux ou qui ne valait pas la peine.
Ils avaient bien remarqué son ton soutenue, mais elle n'avait pas l'air comme les autres bourgeois alors ils commençaient à bien l'aimer et pourquoi pas, s'en faire une amie, la première depuis bien longtemps.
Pour paraître rassurant, et bienveillant, ce qu'il était, Tsubasa lui dit :

Tu veux un manteau ? Tu m'as l'air d'avoir un peu froid avec ce que tu as sur le dos.